Le Mazamétain a pris les commandes du match et de la formation « rouge et noir », ce dimanche 8 septembre au soir dans le Morbihan (succès 43-18), inscrivant 23 points et contribuant largement au premier succès des siens.
Qui dit nouvelle saison dit nouvelle ambition. C’est en tout cas l’envie ardente qui anime le Stade Toulousain à chaque nouvel exercice. Et pour Thomas Ramos, cela sous-entend également une volonté certaine d’apporter toujours un peu plus à son équipe, peu importe le numéro qui lui est attribué dans le dos. Hier, à la Rabine, stade qu’il n’avait pas visité en Pro D2 lors de son prêt à Colomiers durant la saison 2016/2017, c’est avec le numéro 15 que le Mazamétain a rappelé les qualités qui sont les siennes au rugby, prenant déjà la tête du classement des réalisateurs de cette nouvelle saison.
S’il avait eu l’occasion de travailler les automatismes face à Perpignan le 30 août dernier lors du deuxième et dernier match amical des Toulousains, le joueur de 29 ans a rapidement repris ses marques dans un championnat qu’il avait découvert voilà désormais plus de 10 ans. Pour preuve, sur la première offensive des « rouge et noir », son appel dans le dos de Blair Kinghorn ne souffrait d’aucune difficulté de communication.
Servi par l’Écossais, il s’en est allé inscrire le premier essai de la rencontre, lançant idéalement les siens et installant un petit frisson de peur chez les promus, cueillis à froid et désormais lancés dans le grand bain de l’élite (2). Chargé de transformer, il a alors profité de tout le fair-play de l’enceinte morbihannaise pour lancer un peu plus sa rencontre.
Sa relation avec le public breton désormais nouée, l’arrière prenait un malin plaisir à y retourner. Au quart d’heure de jeu après la position de hors-jeu de Lafarge (12), après un avantage qui ne donnait rien (17), ou encore depuis le bord de touche (22).
Toujours aussi impliqué
Dans les chaussures de Paul Graou lorsque ce dernier a lancé la contre-attaque des Haut-Garonnais, sa transition pour Ange Capuozzo était dans le bon tempo pour permettre à l’Italien de prendre de la vitesse avant de servir Roumat pour le deuxième essai (29). Crucial quand il a fallu faire souffler ses collègues, notamment lorsque les Vannetais se sont approchés à plusieurs reprises de la ligne toulousaine, la première évaluation de la saison reste sérieuse et appliquée, à l’image de l’élève, mais aussi de l’équipe, qui aura réussi à prendre finalement le large.
Élément moteur, il n’a cessé d’encourager et conseiller ses camarades de jeu, prenant à bras-le-corps son rôle de leader. Parfois indiscipliné à l’image de son équipe, notamment au moment où il aurait pu rendre la pareille à son passeur décisif Kinghorn (32), c’est avec le pied bien réglé qu’il aura donné un bon bol d’air frais à Toulouse. En terre vannetaise, et même si le 100 % lui a échappé sur la fin du match, il le fallait bien. Une fois de plus, il a montré qu’il n’est pas le meilleur réalisateur de l’histoire du Stade Toulousain pour rien.
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