Formation et stages durant trois mois, à compter du lundi 18 mars 2024, à Loudéac ; avec offres d’emploi à la fin dans une entreprise du Centre Bretagne.
C’est la proposition faite par l‘Union des industries et métiers de la métallurgie des Côtes-d’Armor, en lien avec France Travail (ex-Pôle-Emploi). Et c’est ouvert à tous les profils. Le point.
Formation et offres d’emploi à la clé pour ce métier en tension
400 heures de formation sur trois mois, avec trois semaines de stages dans des entreprises. C’est la proposition de l’UIMM des Côtes-d’Armor et de l’agence France Travail (Pôle Emploi) de Loudéac pour trouver les perles rares : de futurs soudeurs ou futures soudeuses pour quatre entreprises du Centre Bretagne.
Il y a 10 postes à pourvoir dans ces 4 entreprises. Il n’y a aucune limite au nombre de stagiaires. Tous les profils sont les bienvenus : hommes et femmes, avec ou sans pré-requis, en demande d’emploi ou en reconversion.
Une réunion d’information ouverte aux candidats et aux représentants des entreprises est prévue le mardi 5 mars 2024, à la maison France Service de Loudéac (ancien tribunal, rue de Moncontour). Il est conseillé de venir avec son CV.
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La formation en elle-même débutera le lundi 18 mars 2024, pour une délocalisation inédite à Loudéac, précisément dans les locaux de la MFR de Loudéac (rue Anatole-Le Braz) : « On peut y installer notre plateau de formation pour la soudure », indique Léone Prigent, conseillère à l’Union des industries et métiers de la métallurgie de Bretagne.
À l’issue de la formation, les stagiaires seront sanctionnés par une licence soudeur-euse.
Des entreprises qui ont déjà testé ce dispositif avec succès
Les quatre entreprises de constructions en charpente métallique, qui proposent les 10 postes, sont du bassin loudéacien. Ecovrac à Saint-Caradec, 50 salariés ; Satim à Guerlédan-Mûr-de-Bretagne, 25 salariés ; Constructions Métalliques Connan à Saint-Hervé, 30 salariés ; Scam à Saint-Barnabé.
Nous avons déjà testé ce dispositif de formation, en 2019, avec deux personnes qui sont devenues nos salariés. Il y a un temps d’intégration prévu, en binôme, après cette formation de base correcte. Nous les avons ensuite formés en interne pour devenir chaudronniers.
Patrick Salari, de Satim, ajoute : « On voulait une formation de proximité, avec des gens du bassin. Nous avons testé aussi, une fois qu’ils ont vu la soudure en charpente, ils ont voulu aller en chaudronnerie ensuite. » Deux métiers en tension depuis des décennies…
Briser le cliché d’un métier pénible
À travers cette formation, ouverte à tous les profils, les acteurs de la métallurgie veulent surtout casser l’image d’un métier de soudeur ou soudeuse pénible.
Les conditions de travail et la qualité de vie au travail ne sont plus ce qu’elles étaient avant. Cela fait des années que tout s’est amélioré, avec des ports de charges moindres, plus de femmes, des contrats à 35 heures, des horaires réguliers de journée, travailler en équipe, ne pas travailler le week-end, avoir des vacances…
Les acteurs de la formation insistent, en chœur, sur « ces avantages des métiers de l’industrie, sa force, son attractivité, dans un bassin majoritairement agroalimentaire. »
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